Le fléau de la précarité énergétique concerne plus de 5 millions de logements, soit 17% des logements en France. Le sénateur Martin Lévrier souligne que la rénovation énergétique des logements est « indispensable pour respecter la trajectoire définie par l’accord de Paris ».
L’article 39 du projet de loi prévoit le gel de loyers des logements énergivores – c’est-à-dire les passoires énergétiques étant notées F ou G au diagnostic de performance énergétique (DPE) – ainsi qu’une interdiction de la mise en location des logements mal isolés dès 2025 pour les passoires thermiques notées G.