L’artificialisation des sols est aujourd’hui l’une des causes premières du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Elle amplifie les risques d’inondation et réduit la capacité des terres agricoles.
Au nom du groupe RDPI, le sénateur Bernard Buis s’est exprimé en faveur de la proposition de loi qui entend faciliter la mise en oeuvre des objectifs de « zéro artificialisation nette » (ZAN) de la loi Climat et résilience dans les territoires via un meilleur partage de l’effort de réduction de l’artificialisation entre l’État et les territoires.
Il s’agit ainsi d’entendre les difficultés remontées par les élus locaux et trouver le moyen de concilier de la meilleure façon qu’il soit sobriété foncière et développement des territoires.